Le 19 octobre dernier, FIBOIS42 organisait un apéros pro mettant en valeur le projet ambitieux STENT mené par l’architecte Dominique MOLARD, co-gérant d’Archipente. Nous vous proposons d’en savoir plus sur ce projet, encore au stade d’expérimentation, surprenant, labellisé par le Pôle de compétitivité Xylofutur.

Un projet innovant

Le projet STENT est né de l’abandon de l’autoroute qui devait relier Saint-Etienne à Lyon. L’architecte Dominique Molard a imaginé un pont qui serait construit au-dessus de l’autoroute actuelle pour la doubler ! Les véhicules légers passeraient dessus et les poids lourds dessous.

Il a été nécessaire de réaliser une étude de faisabilité pour tester le projet. Elle a bénéficié du soutien financier de l’Europe, de l’Etat, de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et du département de la Loire à 80%. Cela, afin de trouver des alternatives à l’abandon de la construction de l’autoroute A45 entre Saint-Etienne et Lyon. La Fondation Innovation du Crédit Agricole Loire-Haute Loire, Lignatech et Archipente ont financé les 20% restants.

Les entreprises certifiées BTMC Lignatech et Scierie Forge-Mahussier ont réalisé trois prototypes en collaboration avec Archipente. Et pour tester la faisabilité du projet, l’un d’eux a été réalisé à taille réelle, sur 16 mètres de long, 6 mètres de large (largeur voirie) et 5 mètres de haut.

 

Une solution pour le futur

STENT, pourrait être une solution pour valoriser les gros bois des forêts locales, qui empêchent l’épanouissement de jeunes pousses. Ces gros bois permettent la réalisation de grandes portées autour de 13,5 mètres, capables de supporter des charges très importantes. Les fibres du bois sont protégées lorsqu’on les scie au minimum, et leurs propriétés mécaniques aussi. Ils ne rencontrent pas de contraintes thermiques. L’objectif à terme serait, d’après Dominique Molard, de consommer 1 000 000 de mètres cubes de surface de plancher par an, et ce pendant un siècle.

Ici, pas de lamellé-collé ! Dominique Molard s’est inspiré des travaux de Julius Natterer, qui utilisait des sections de gros bois massives en les juxtaposant les unes à côté des autres pour réaliser des ouvrages de franchissement de l’ordre de 15 à 20 mètres. L’intérêt du projet, c’est qu’il ne demande qu’une matière grise très faible face à un ouvrage métallique ou tout béton. Il est aussi réversible et peut être aisément déconstruit. STENT pourrait aussi s’adapter à d’autres applications tels que les ombrières végétalisées photovoltaïques ou les parkings silo par exemple.

 

L’utilisation d’un matériau bio-sourcé et local

Utiliser du bois issu des forêts locales, ce n’est pas une option pour Dominique Molard ! Et cela a commencé dès la phase de prototypage avec l’utilisation de 12 grumes des forêts environnantes. La Scierie Forge et Lignatech s’inscrivent dans une démarche aux valeurs environnementales fortes. Leur double certification PEFC et Bois des Territoires du Massif Central témoignent de cet engagement. Situé sur le même site, ils travaillent en circuit (très) court.

En sortant les gros arbres et laissant la place aux jeunes arbres, on capte beaucoup plus de CO2. De plus, la ressource est renouvelable. Mais surtout, le projet lui-même compense largement les émissions de carbone liées à son usage durant sa durée de vie.

Enfin, STENT pourrait permettre la création de 8000 emplois locaux pendant un an dans la filière bois, d’après FIBOIS Auvergne-Rhône-Alpes.

A l’occasion de la sortie en mai 2023 de la synthèse de la Feuille de route décarbonation de la filière bâtiment relative à l’article 301 de la Loi « Climat et Résilience », nous revenons plus en détail sur le document.

Une feuille de route : pourquoi ?

En conséquence de l’article 301 de la Loi « Climat et Résilience », les représentants de la filière bâtiment et des collectivités, ainsi que le Gouvernement se sont concertés afin de rédiger la Feuille de route qui constitue une proposition adressée aux pouvoirs publics. Dans un contexte d’urgence climatique, ce document a pour ambition de coordonner les actions mises en œuvre par chacune des parties pour atteindre les objectifs fixés par la Stratégie nationale de développement à faible intensité de carbone du Code de l’environnement.

Au sein de groupes de travail thématiques ou régionaux, près de 1000 personnes se sont attelées à ce grand projet. Ce document vient confirmer l’engagement des acteurs de la filière bâtiment à prendre part dans l’effort vers la décarbonation. Représentant 25% de l’empreinte carbone annuelle de la France, la filière bâtiment joue un rôle très important dans l’objectif global de décarbonation à l’échelle du pays. La Stratégie Nationale Bas-Carbone actuelle prévoit une réduction de 48% des émissions du secteur d’ici à 2030, par rapport à l’année 2015, et une décarbonation presque entière d’ici à 2050.

 

La certification BTMC, un outil de décarbonation

La Feuille de route de décarbonation de la filière bâtiment identifie 25 leviers. Parmi eux, certains font directement référence au champ d’application des certifications de bois local, telles que Bois des Territoires du Massif Central (BTMC), Bois des Alpes, Bois des Pyrénées ou encore Lignum Corsica.

Cela va de soi, s’appuyer sur des ressources et des solutions locales présente un levier de développement essentiel. La certification BTMC fonctionne à l’échelle du Massif central, en résonnant à échelle locale. En plus de permettre la valorisation des bois et des essences du territoire, BTMC maintient les activités économiques sur le massif, et assure un approvisionnement, une transformation et une utilisation locale des produits bois.

Opter pour un bois issu de forêts locales gérées durablement permet certes une préservation des ressources, mais c’est aussi le choix d’un matériau qui répond aux exigences climatiques et géographiques. Il s’adapte facilement et naturellement dans n’importe quel environnement et permet une qualité et un confort d’usage. Avec un schéma de transformation local, on favorise les circuits courts, et limite les déplacements.

Dans sa Feuille de route, le secteur du bâtiment veut améliorer et développer l’accès aux données environnementales pour gagner en transparence et inciter ses acteurs à faire le bon choix. En novembre dernier, les associations BTMC et Bois des Pyrénées présentaient leur tout nouvel outil numérique de traçabilité BoisLocal. C’est un outil de communication à destination des maîtres d’ouvrages publics qui valorise leur engagement dans l’utilisation du bois local certifié. Il permet de montrer au grand public les impacts environnementaux mais aussi socio-économiques des investissements réalisés grâce à l’utilisation de bois local certifié. L’application rend accessible pour tous, l’origine du bois et la contribution des acteurs de la transformation.

 

Une règlementation européenne en dissonance avec les ambitions gouvernementales

La règlementation européenne exige que l’attribution d’un marché public soit effectuée dans le cadre de procédures concurrentielles. Elle ne permet pas de prendre en compte l’exigence d’une provenance ou d’acteurs locaux comme raison valable d’exclusion dans un marché. Cela représente un réel frein dans la réalisation des objectifs définis par le Gouvernement.

Les certifications de bois local, en partenariat avec les Communes forestières, ont travaillé afin de permettre aux maîtres d’ouvrage publics d’utiliser ces outils garantissant la qualité et la provenance des bois. Ils ont développé ensemble un guide juridique afin de faciliter l’accès aux marchés.

Les Communes forestières accompagnent les maîtres d’ouvrage publics au quotidien dans leur engagement dans la démarche BTMC. L’association BTMC, elle, accompagne les entreprises et la maîtrise d’ouvrage privée.

Parallèlement, l’Etat, à travers la mise en place d’une bonification DETR en préfecture, vise à encourager l’exemplarité environnementale dans la commande publique, mais aussi de démocratiser le choix du bois dans la construction.

 

RESSOURCES

Feuille de route de décarbonation de la filière bâtiment

Synthèse Feuille de route

La certification BTMC

BoisLocal

Guide juridique

Société nétrablaise des bois, entreprise ligérienne, rejoint la certification Bois des Territoires du Massif Central !

Société Nétrablaise des bois (SNB) certifie BTMC ses activités de scierie. Créée en 1985, SNB est restée une entreprise familiale, se développant depuis quatre générations. S’approvisionnant dans les forêts locales des Bois Noirs en Région Auvergne-Rhône-Alpes, elle exploite et valorise des essences locales, principalement le douglas et le sapin. L’entreprise, en plus de sa spécialisation dans la fabrication de débits standards et de charpentes sur liste, exerce des activités de caisserie et de bois énergie. Grâce à son unité de séchage, elle est capable de proposer des produits bois de qualité, résistant mécaniquement dans un temps restreint.

Certifiée PEFC et détenant le marquage CE pour ses bois de structure à section rectangulaire, en choisissant de se certifier BTMC, SNB assure à sa clientèle des produits bois et services de qualité, issus d’un approvisionnement de forêts gérées durablement du Massif central.

Contactez SNB
La Post 42440 NOIRETABLE
04 77 24 70 91
Netrablaise.bois@wanadoo.fr
www.scieriesocietenetrablaisedesbois.fr

Le 2 mai dernier, l’Assemblée Nationale à publié un rapport d’information, au nom de la Commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire. La Mission d’information, portant sur l’adaptation au changement climatique de la politique forestière et la restauration des milieux forestiers, a publié 39 propositions. Deux d’entre elles font référence à l’usage du bois local.

La Réglementation Environnementale 2020 (RE2020) a été instaurée dans une logique de développement d’une économie bas-carbone. Cette dernière favorise l’utilisation du matériau bois dans les constructions et rénovation de bâtiments. Cette alternative biosourcée peut s’avérer d’autant plus vertueuse dès lors qu’elle prend en compte des critères de qualité, d’origine géographique et de traçabilité. Des certifications, telles que Bois des Territoires du Massif Central (BTMC), Bois des Alpes, Bois des Pyrénées, Lignum Corsica, ou encore des AOC, telles que Bois du Jura et Bois de Chartreuse, permettent de répondre à de telles exigences ! Ces démarches vertueuses permettent de développer ou de renforcer les circuits-courts, et de valoriser les forêts de leurs massifs, gérées durablement.

Focus sur les propositions de l’Assemblée Nationale

Proposition 21 : introduire à l’article L. 2111-1 du code de la commande publique un poids minimum obligatoire consacré aux critères environnementaux et sociaux dans la pondération des marchés publics

Cette proposition intervient en réponse à l’impossibilité de privilégier la commande locale et le développement de marques régionales lors de la rédaction des marchés publics, en référence au code de la commande publique.

Le code de la commande publique a été mis en place dans un souci d’égalité entre tous les candidats. Pourtant, la sollicitation d’entreprises locales et de ressources locales permettent le maintien des emplois sur le territoire, évite l’émission de CO2 par stockage de substitution, aide au maintien de l’économie locale.

Comment peut-on exiger un bois certifié BTMC ?

Les Communes forestières et Bois des Territoires du Massif central ont rédigé un guide juridique, qui permettent de mettre en place des exigences qualitatives, environnementales ou encore sociales dans les marchés.

Consultez notre guide juridique. Pour plus d’informations, contactez les Communes forestières, elles accompagnent les maîtres d’ouvrage publics dans leurs projets de construction ou rénovation.

Mais alors, quelle serait la solution ?

Le Parlement émet l’idée de l’introduction dans le code de la commande publique d’un poids minimum obligatoire tenant compte de critères environnementaux. Le prix des travaux serait encore le résultat de beaucoup de décisions.

 

Proposition 22 : généraliser la traçabilité des produits en bois et développer une forme de score environnemental pour ces produits.

D’après FIBOIS France, 10 000 scieries locales ont fermé en 15 ans. Les certifications, telles que BTMC, ou encore Bois des Alpes, qui assurent une traçabilité des produits certifiés, pourraient favoriser leur retour.

« Si l’on souhaite augmenter la consommation de bois issu de nos forêts, nous devons permettre aux Français et aux entreprises qui passent des commandes d’avoir accès aux données de traçabilité des biens en bois qu’ils achètent, comme c’est déjà le cas avec la nourriture aujourd’hui. » est-il indiqué dans le Rapport d’information publié par le Parlement.

Le Gouvernement pourrait inciter les maîtres d’ouvrage à utiliser de telles démarches, et ainsi favoriser et valoriser les constructions et rénovations vertueuses, mais surtout faire du local, dans tous les domaines, un réflexe de consommation !

 

Consultez le Rapport d’information rédigé par le Parlement

Le 13 mai dernier, Pascal Jolivel, chargé de mission certification BTMC a tenu un stand lors de la 1ère édition de la Fête de la Forêt des Cévennes. Une réussite pour ce tout nouveau rendez-vous, qui a accueilli malgré la pluie plus de 250 visiteurs.

Organisée par le PETR Sud Lozère en collaboration avec le Syndicat mixte du Pays des Cévennes, la Fête de la Forêt des Cévennes s’est installée à Barre-des-Cévennes, dans le Département de la Lozère. Toute la journée, de nombreux et divers événements ont été programmés. Ainsi, nous avons eu l’opportunité d’échanger avec le public, lors de la conférence « Le Bois local dans la construction et la traçabilité des approvisionnements », présentée aux côtés des Collectivités forestières Occitanie Pyrénées-Méditerranée.

Ce rendez-vous deviendra très vite un moment incontournable pour la filière Forêt bois locale des Cévennes !
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Le mercredi 10 mai 2023, adhérents, entreprises, partenaires financiers et techniques se réunissaient pour l’Assemblée Générale de l’association BTMC. Cette année, l’événement a eu lieu dans le nord du Massif central dans le Puy-de-Dôme, à la Maison de la Forêt et du Bois de Lempdes. Ce rendez-vous incontournable a attiré près de 40 personnes.

La partie statuaire de l’Assemblée Générale a permis de faire le bilan de l’année 2022 et d’exposer les perspectives pour les 5 ans à venir.

Après l’annonce d’un avenir prometteur et ambitieux, la parole a été donnée à Chrystel Guilhot, collaboratrice de direction de l’entreprise certifiée Guilhot Construction Bois. Son témoignage transparent sur la certification a permis de comprendre de quelle manière la certification pouvait devenir un avantage concurrentiel notamment dans la réponse aux marchés publics.

Griselda Basset, coordinatrice de l’association, a ensuite pu aborder les démarches communes engagées avec les certifications Bois des Alpes, Bois des Pyrénées, Lignum Corsica, ainsi que les AOC Bois du Jura et Bois de Chartreuse. En plus d’axes de travail communs sur le plan administratif ou sur le volet communication, les structures souhaiteraient s’allier pour le développement de l’application BoisLocal, jusqu’alors développée par BTMC et Bois des Pyrénées.

Pascal Jolivel, chargé de mission certification au sein de BTMC, a ensuite présenté des dispositifs tremplins pour le bois local et durable certifié. En adhérent au Cluster Eco-Bâtiment et à Envirobat Occitanie, l’association BTMC ouvre son réseau à de nouvelles perspectives de valorisation, mais aussi à un nouveau carnet de contacts.

Enfin, la séance s’est levée après la signature de la convention entre les Communes forestières Massif central et BTMC. Après 5 années de partenariat, les deux associations ont souhaité renforcer leurs liens.

 

Documents utiles
Procès verbal de l’Assemblée Générale 2023
Rapport d’activité 2023
PowerPoint de l’Assemblée Générale 2023

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Rendez-vous mercredi 10 mai 2023 à 10H00 pour l’Assemblée Générale de l’Association Bois des Territoires du Massif Central ! Nous nous réunirons au nord du Massif central, dans la Maison de la Forêt et du Bois à Lempdes (63).

Ensemble, faisons le bilan de 2022 et de la période écoulée depuis notre création. Puis, découvrez la feuille de route pour les 5 ans à venir. Cette année, assistez à une diversité d’interventions et profitons de ce temps unique pour échanger sur notre dynamique et notre futur.

Nous vous attendons nombreuses et nombreux !

 

Ordre du jour :

  • Partie statutaire : Bilan 2022 et perspectives
  • Bonnes pratiques des entreprises : « BTMC, un avantage concurrentiel pour les marchés »
  • Synergie entre les démarches bois local : Le développement de BoisLocal et le travail entre les démarches
  • Des dispositifs tremplins pour le bois local et durable certifié : Envirobat et le Cluster Eco-bâtiment
  • Repas convivial : Signature de la convention entre les Communes forestières Massif central et BTMC

 

Pour participer, il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous :

La scierie Malaqui est désormais certifiée Bois des Territoires du Massif Central !

La scierie Malaqui est située dans le nord du département de Corrèze (19), près d’Ussel. José Ribeiro, le gérant de l’exploitation forestière Ribeiro SAS, a racheté la scierie il y a quelques années à l’un de ses clients, qui partait à la retraite. Dans un souci de développement de produits bois locaux et issus de forêts gérées durablement, et de valorisation du bois et essences locales, il a créé le groupe Saint Angel Forest, qui regroupe les deux entreprises. La scierie est désormais certifiée FSC, PEFC et Bois des Territoires du Massif Central. Avec la création de ce groupe, le client s’adresse à un seul opérateur, pour l’exploitation, la transformation et la livraison des bois.

La scierie transforme principalement des essences de résineux, issues des forêts de l’exploitation du groupe. José Ribeiro, président du groupe, et ses 25 salariés, s’appliquent à transformer des essences variées, afin que l’entreprise reste diversifiée tant en termes de produits bois que d’essences. Spécialiste du sciage tout débit de résineux, de grosses sections et de grandes longueurs, la scierie privilégie la production du bois de charpente. Les installations de la scierie permettent aussi le rabotage, le séchage et le traitement classe 2 du sciage. Les plaquettes forestières, la sciure ainsi que les écorces partent en transformation ce qui permet à l’établissement de valoriser sa marchandise afin d’être dans une démarche zéro déchets. Son gérant est convaincu de la nécessité de son utilisation dans la construction pour un meilleur avenir pour la planète.

Contactez la scierie Malaqui
18 route de Tulle – Route départementale 1089 19200 SAINT-ANGEL
05 55 72 52 82
contact.malaqui@saint-angel-forest.fr
www.sas-scierie-malaqui.com

PEFC et Bois des Territoires du Massif Central ont travaillé ensemble à l’élaboration d’une brochure. Un moyen de confirmer le caractère indivisible des deux certifications. En effet, les entreprises certifiées Bois des Territoires du Massif Central doivent aussi être certifiées PEFC. Un moyen d’assurer la gestion durable des forêts d’approvisionnement, tout en assurant l’échelle locale des bois.

La brochure a été créée pour les entreprises certifiées, afin de leur permettre de communiquer sur leur engagement en faveur du bois local et durable auprès de leurs futurs clients. Son format A5 pratique peut se glisser dans les appels d’offres, et placer les certifications PEFC et Bois des Territoires du Massif Central comme véritable avantage concurrentiel ! Il est aussi possible de la mettre à disposition lors des salons, événements ou simplement à l’accueil des entreprises. Prête à l’impression, les entreprises peuvent imprimer la brochure par un professionnel certifié PEFC, ou au sein de leur société.

Téléchargez la brochure en version digitale

 


Envie d’en savoir plus ? N’hésitez pas à nous joindre !

Bois des Territoires du Massif Central
contact@certificationbtmc.org – 06 16 82 47 88

PEFC
contact@pefc-france.fr – 01 43 46 57 15

Charpentes d’Olt devient la 31ème entreprise certifiée BTMC !

L’entreprise spécialisée dans la fabrication de fermettes s’est installée dans le nord du département de l’Aveyron en 2013, en lisière du Cantal. Elle s’adresse aux professionnels tels que les négoces de matériaux, les constructeurs de maisons individuelles, les artisans charpentiers ou encore les promoteurs immobiliers qui ont des projets de charpentes industrielles.

Charpentes d’Olt possède un bureau d’études interne, qui permet de suivre les projets de ses clients de A à Z. Dans son atelier de 1600 mètres carré, l’entreprise possède plusieurs machines, notamment trois presses à commande numérique permettant l’assemblage des fermettes selon les normes requises.

Christophe Montourcy, gérant de Charpentes d’Olt, est aussi le gérant de l’entreprise très récemment certifiée CM Bois et Habitat. Il s’approvisionne en bois issus de forêts gérées durablement certifiées PEFC ou FSC auprès de la scierie certifiée Bois du Rouergue. L’entreprise résonne depuis sa création en boucle locale. Avec la certification Bois des Territoires du Massif Central, Charpentes d’Olt ne fait que confirmer ses valeurs auprès de ses clients.

Contactez Charpentes d’Olt
Zone Artisanale de Saures 12140 Entraygues-sur-Truyère
05 65 48 24 10
contact@charpentes-olt.fr
www.charpentes-olt.fr